La priorité est donnée aux propositions innovantes destinées à accroître la qualité, la visibilité ou la disponibilité de la recherche au niveau national, régional ou international, notamment :

les études épidémiologiques ciblant des problèmes de santé spécifiques, par exemple l’identification des facteurs de risque des maladies, les études socio-comportementales telles que les études sur les connaissances, les attitudes et les pratiques (CAP) et les études écologiques telles que les études sur les systèmes d’information géographique (SIG) ;

les recherches coordonnées sur les maladies transmissibles, les études sur la lutte antivectorielle, la lutte contre les réservoirs des maladies en collaboration avec le personnel vétérinaire (zoonoses) et la surveillance des maladies transmissibles ;

l’évaluation des services de diagnostic et de traitement et de leur conformité aux directives récentes, et les facteurs prédictifs de retard de diagnostic et de guérison incomplète ;

les déterminants sociaux et économiques de la disponibilité et de l’utilisation des médicaments, et les inégalités d’accès aux traitements éprouvés ;

la recherche pour trouver des méthodes innovantes destinées à encourager la participation du secteur privé de la santé aux différentes activités de prévention et de lutte ;

l’évaluation de nouveaux outils diagnostiques utilisables sur le terrain et les études d’économie de la santé évaluant différentes stratégies de lutte contre les maladies ; et

la recherche sur la qualité des systèmes d’information sur les maladies transmissibles, l’évaluation de la fiabilité des données recueillies, l’identification des déterminants en cas d'informations insuffisantes et les études d’intervention pour améliorer la qualité des informations enregistrées et fournies par les établissements de santé ou les ministères de la Santé sur les maladies transmissibles.